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Mc Solaar -Caroline
28/04/2007 04:59
J'étais cool, assis sur un banc. C'était au printemps. Il cueille une marguerite : ce sont deux amants. Overdose de douceur. Ils jouent comme des enfants. Je t'aime un peu beaucoup à la folie passionnément. Mais à la suite d'une douloureuse déception sentimentale, D'humeur chaleureuse, je devenais brutal. La haine d'un être n'est pas dans nos prérogatives. Tchernobyl. Tcherno-débile. Jalousie radioactive. Caroline était une amie, une superbe fille. Je repense à elle, à nous, à nos cornets vanille, A sa boulimie de fraises, de framboises, de myrtilles, A ses délires futiles, à son style pacotille. Je suis l'as de trèfle qui pique ton cœur... L'as de trèfle qui pique ton cœur... L'as de trèfle qui pique ton cœur... Caroline...
Comme le trèfle à quatre feuilles, je cherche votre bonheur. Je suis l'homme qui tombe à pic... pour prendre ton cœur. Il faut se tenir à carreaux. Caro, ce message vient du cœur. Une pyramide de baisers, une tempête d'amitié, Une vague de caresses, Un cyclone de douceur. Un océan de pensées. Caroline, je t'ai offert un building de tendresse. J'ai une peur bleue. J'suis poursuivi par l'armée rouge. Pour toi j'ai pris des billets verts, il a fallu qu'je bouge. Pyromane de ton cœur, Canadair de tes frayeurs, Je t'ai offert une symphonie de couleurs. Elle est partie, maso, avec un vieux macho Qu'elle avait rencontré dans une station de métro. Quand je les vois main dans la main fumant le même mégot, Je sens un pincement dans son cœur, mais elle n'ose dire un mot, C'est qu'je suis l'as de trèfle qui pique ton cœur... L'as de trèfle qui pique ton cœur... L'as de trèfle qui pique ton cœur... Caroline...
Claude MC prend le microphone, genre love story raggamuffin Pour te parler d'une amie qu'on appelle Caroline. Elle était ma dame, elle était ma came, elle était ma vitamine, Elle était ma drogue, ma dope, ma coke, mon crack, mon amphétamine, Caroline... Je repense à elle, femme actuelle, 20 ans, jeune et jolie. Remet donc le film à l'envers, magnéto de la vie. Pour elle, faut-il l'admettre, des larmes ont coulé. Hémorragie oculaire. Vive notre amitié. Du passé, du présent, je l'espère, du futur, Je suis passé pour être présent dans ton futur. La vie est un jeu de cartes, Paris un casino. Je joue les rouges, cœur, Caro... Je suis l'as de trèfle qui pique ton cœur... Caro L'as de trèfle qui pique ton cœur... L'as de trèfle qui pique ton cœur... Caroline... Je suis l'as de trèfle qui pique ton cœur... L'as de trèfle qui pique ton cœur... L'as de trèfle qui pique ton cœur... Caroline...
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Stevie Wonder - I just call to say I love you
27/04/2007 20:56
No New Year's Day to celebrate No chocolate covered candy hearts to give away No first of spring No song to sing In fact here's just another ordinary day
No April rain No flowers bloom No wedding Saturday within the month of June But what it is, is something true Made up of these three words that I must say to you
I just called to say I love you I just called to say how much I care I just called to say I love you And I mean it from the bottom of my heart
No summer's high No warm July No harvest moon to light one tender August night No autumn breeze No falling leaves Not even time for birds to fly to southern skies
No Libra sun No Halloween No giving thanks to all the Christmas joy you bring But what it is, though old so new To fill your heart like no three words could ever do
I just called to say I love you I just called to say how much I care, I do I just called to say I love you And I mean it from the bottom of my heart
I just called to say I love you I just called to say how much I care, I do I just called to say I love you And I mean it from the bottom of my heart, of my heart, of my heart
I just called to say I love you I just called to say how much I care, I do I just called to say I love you And I mean it from the bottom of my heart, of my heart, baby of my heart
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FREE- Stevie Wonder
27/04/2007 04:38
Free like the river Flowing freely through infinity Free to be sure of What I am and who I need not be Free from all worries Worries prey on oneself's troubled mind Freer than the clock's hands Tickin' way the times Freer than the meaning of free that man defines Life running through me Till I feel my father God has called
Me having nothin' But possessing riches more than all And I'm free To be nowhere But in every place I need to be Freer than a sunbeam Shining through my soul Free from feelin' heat or knowing bitter cold Free from conceiving the beginning For that's the infinite start
I'm gone - gone but still living Life goes on without a beating heart
Free like a vision That the mind of only you can see
Freer than a raindrop Falling from the sky Freer than a smile in a baby's sleepin' eyes
I'm free like a river Flowin' freely through infinity I'm free to be sure of what I am and who I need not to be I'm much freer - like the meaning of the word free that crazy man defines Free - free like the vision that The mind of only you are ever gonna see Free like the river my life Goes on and on through infinity
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L'autre finistère - les innocents
26/03/2007 19:29
comprendrais-tu ma belle qu'un jour, fatigué j'aille me briser la voix une dernière fois à cent vingt décibels contre un grand chataigner d'amour pour toi
trouverais-tu cruel que le doigt sur la bouche je t'emmène, hors des villes en un fort, une presqu'île oublier nos duels nos escarmouches nos peurs imbéciles
on irait y attendre la fin des combats jeter aux vers, aux vautours tous nos plus beaux discours ces mots qu'on rêvait d'entendre et qui n'existent pas y devenir sourd
il est un estuaire à nos fleuves de soupirs où l'eau mêle nos mystères et nos belles différences j'y apprendrai à me taire et tes larmes retenir dans cet autre Finistère aux longues plages de silence
bien sûr on se figure que le monde est mal fait que les jours nous abiment comme de la toile de Nîmes qu'entre nous, il y a des murs qui jamais ne fissurent que même l'air nous opprime
et puis on s'imagine des choses et des choses que nos liens c'est l'argile des promesses faciles sans voir que sous la patine du temps, il y a des roses des jardins fertiles
il est un estuaire à nos fleuves de soupirs où l'eau mêle nos mystères et nos belles différences j'y apprendrai à me taire et tes larmes retenir dans cet autre Finistère aux longues plages de silence
car là-haut dans le ciel si un jour je m'en vais ce que je voudrais de nous emporter avant tout c'est le sucre, et le miel et le peu que l'on sait n'être qu'à nous
il est un estuaire à nos fleuves de soupirs où l'eau mêle nos mystères et nos belles différences j'y apprendrai à me taire et tes larmes retenir dans cet autre Finistère aux longues plages de silence
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Colore- les innocents
26/03/2007 19:22
Colore le monde, sans feutre, sans épreuves ni bombes Indolore les murs, et coule dans le fleuve la facture En monnaie de singe, fraîche blanche comme le linge A jamais répand du fard sur les hommes comme le temps
Colore la foule , colore mes veines Chaque jour il me révèle En chair de poule, en dieu du ciel Et la foule sort de mes veines Oui comme le temps est un ami Il colore mon pays
Des dieux, mes sœurs j'en vois de toutes les couleurs Pour des cieux, mes frères s'engagent sur des routes à l'envers Mais là haut décide, fait le ménage fait le vide Sur la peau répand du fard sur les hommes comme le temps
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Le vent nous portera - noir desir
26/03/2007 19:19
Je n'ai pas peur de la route Faudrait voir, faut qu'on y goûte Des méandres au creux des reins Et tout ira bien
Le vent l'emportera
Ton message à la grande ourse Et la trajectoire de la course A l'instantané de velours Même s'il ne sert à rien
Le vent l'emportera Tout disparaîtra Le vent nous portera
La caresse et la mitraille Cette plaie qui nous tiraille Le palais des autres jours D'hier et demain
Le vent les portera
Génétique en bandoulière Des chromosomes dans l'atmosphère Des taxis pour les galaxies Et mon tapis volant lui
Le vent l'emportera Tout disparaîtra Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes Ceux qui peuvent frapper à ta porte Infinité de destin On en pose un, qu'est-ce qu'on en retient?
Le vent l'emportera
Pendant que la marée monte Et que chacun refait ses comptes J'emmène au creux de mon ombre Des poussières de toi
Le vent les portera Tout disparaîtra Le vent nous portera
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